29 janvier 2010

Des fois je doute encore plus...

Des fois je doute encore plus que la dernière fois. Depuis ce fameux papier dans lequel je faisais part des mes doutes et de la possible mauvaise interprétation de certaines données - et je le répète il s'agit de doutes - j'ai continué à tenter de comprendre pourquoi le soleil était considéré comme quantité négligeable dans nombre de rapports. J'ai tenté et ... j'ai pas réussi. Pour moi une baisse d'activité dans l'infrarouge - j'entends par là bien sûr une baisse significative en terme de durée et/ou de quantité - ne peut que se traduire par une baisse OBLIGATOIRE des températures. Ceux qui - comme moi et mes enfants - avons connu l'expèrience d'une éclipse totale de soleil savent qu'en l'espace de quelques minutes la température ambiante baisse brutalement alors que l'ombre portée sur la terre est en constant déplacement et ne couvre qu'une infime partie de la surface ...
J'ai lu récemment un pdf dans lequel une scientifique disait que l'impact de la baisse d'activité IR était négligeable. (là http://sidc.oma.be/news/118/minimum_eng.pdf )Et pourtant je me dis que c'est LA SEULE source de chaleur qui nous permet de survivre. Le soleil émet dans toutes les directions une quantité phénoménale d'énergie, celle qui nous interesse se divise en deux parties : la partie visible - pratique pour voir le jour - et la partie infrarouge - pratique pour pas se geler les miches.
Nous sommes en moyenne à 149 597 870 soit une unité astronomique ... Vaaaache 149 millions ? ça fait un bout quand même... Une loi, dite loi d'éclairement dit que l'éclairement d'un objet varie à l'inverse du carré de la distance source objet. Cette loi s'applique avec quelques variantes en electromagnétisme,  en acoustique et même en mécanique gravitationnelle. L'infrarouge c'est de la lumière, à peine visible certes mais de la lumière quand même. Et c'est cette frange de lumière qui nous réchauffe.
 
Si je dis que le soleil est une ampoule de 100 watts ( une vraie hein? pas ces daubes de lumières basse consommation qu'éclairent pas et qui chauffent encore moins bref c'est pas le sujet) et je vais dire que cette lumière emets genre 80 watts dans l'infrarouge - c'est pas vrai je sais mais là j'ai la flemme de chercher les chiffres exacts )
A 1 m on dit que je reçois 80 W
a 2 m on dit que je recois 20 W
à 3 m  on dit que je recois 8,8 W
à 4 m  on dit que je recois 5 W
 
Comme vous le voyez ça baisse vite , très vite même. Pour bien s'en convaincre pensez à ce qui se passe lorsque vous êtes dans une maison de campagne l'hiver devant une bonne flambée... A un mètre vous crevez de chaud et vous avez froid au fesses, à trois mètres vous êtes congelés. Maintenant isolez mieux votre masure,vous chauffez pendant la matinée et vous constatez que vous crevez toujours de chaud à un mètre MAIS que vous pouvez vous éloignez et rester dans une plage de température correcte. Si le feu baisse la température baisse lentement dans la maison - inertie thermique oblige - Si il baisse longtemps la totalité de la maison finit par baisser et si le feu s'arrête ben vous vous caillez rapidement les miches !
Ce qui semble évident pour une maison semble diviser le monde scientifique dès que l'on essaie de l'appliquer à la planète entière.
La cheminée à foyer ouvert c'est le soleil. Fouioouiouooulle ché chô!!!
La maison pas isolée c'est Mars. Une bicoque pas isolée en antarctique ferait l'affaire.
La maison un peu isolée - mais pas beaucoup , pffiu un film d'air d'un ou deux millimètres pas plus - c'est notre bonne vieille Terre. Une maison en paille avec du double vitrage en plein jura serait idéale hein mon koun ?.
Si la cheminée chauffe beaucoup comme c'est le cas pour le soleil depuis ... jusqu'à y a dix ans ben la température augmente, ce que l'on a effectivement mesuré. Là le soleil - si l'on en croit l'article du National Geographic et ce que je pressentais il y a peu - à amorcé une phase de déclin, si le cycle multi-décennal qui semble se dessiner se confirme dans les vingt ou trente ans qui viennent , on risque effectivement de connaitre à nouveau l'équivalent d'un minimum de Maunder... Qui masquerait à n'en pas douter tous les effets des excés de gaz à effets de serre lachés dans l'atmosphère.
Après ben ON SAIT PAS !!!! puisque les modèle actuels sur lequel se basent nos spécialistes du GIEC nient complètement l'effet du soleil ou le réduisent à quantité négligeable.
 
Enfin moi c'que j'en dis hein ?
sources:
National Geographic : 

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